Fut un temps lointain, ado
Laissant les heures filer….
Quand nous traversions les bois obscurs et pleins
de périls que nos jambes agiles se faisaient fort de défier…
En sauvages chevelus avides d’un retour à une nature lointaine pour rentrer comme de jeunes loups vers un foyer bienveillant, nous regardions ces frondaisons en pensant à Musset Alfred de Vigny, et Lamartine autant qu’à James Dean et Presley…
Si, si nous l’avons fait dans les bois, dans les bois, comme tout le reste après, « bien après »….