Toi qui gis maintenant
Sur la pesanteur que ta nature ignorait,
Comme ces baleines échouées qui dansaient légères…
Ton gui que tu hébergeais te fait maintenant tout un parterre en ton hommage,
Mais nuls amants pour se promettre longévité dans un baiser
Sous tes ombrages amputés.
juste un cliché furtif pour comparer la taille d’un homme et d’un géant des hautes futaies…
Tes cercles concentriques remontent sûrement au marquis de Sade,
excentrique entre mille dont tu vis peut-être,
Passer le fourgon qui l’emmenait au château de Vincennes,
Ou bien à Charenton…