Voici le temps que je suis
Suivant le moindre nuage
Il assombrit mon front
Il est alors inutile
De me demander l’heure qu’il est.
Mais toi mon ami, mon soleil
À l’humeur égale et sans pareil
Si tu me dis : « il en connaît un rayon ! »
Alors flatté, je te souris
Et te tends mes rides
Qui sont autant d’étés
Que tu m’as donnés.
Et nous pouvons trinquer !