Train de banlieue
Matin gris, visages fermés,
Froids.
frais ou fatigués,
Que font-ils ?
Quel poids ont-ils à porter ?
Le temps qui file
Celui qu’il fait,
Scruter chacun,
Ne sert à rien,
Se croire ému
par une beauté non plus…
Perdre son regard
Au hasard, loin,
Dans le dédale urbain
Unanimement humains,
Les tags géants nous tutoient.
Nous tirent de la torpeur…
Et oui mon Denis,
Le petit train-train quotidien, véritable opium du peuple comme disait l’autre en parlant de la religion.
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Oui, on s’y laisse bercer et rêver aussi !
Bonne journée John.
😉
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Bonne journée à toi Denis.
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