Les marées du temps
Et nos vies telles les vagues hautes
Des émotions qui nous submergent
Vaquant à nos travaux d’amour
Concentrés sur un galop fou
Si rapide, juste après,
désert des marées basses,
Les sables de l’absence,
soi dans sa coquille refermée
qui se fait l’écho des joies d’hier
Sensible déjà à celles de demain.
L’absence, la vacuité du quotidien. Un balai incessant
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Oui John,
Bonne semaine
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Bonne journée Denis,
J’ai aimé ton texte. Une petite touche de tristesse ?
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Pas une once ou comme un petit « baby blues » qui ne me concerne pas directement…Comme par exemple le départ d’un être cher le lendemain d’un succès partagé avec lui…
Bonne journée,
D.
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La sensibilité est un poids (parfois) mais c’est une très belle chose d’en être pourvu.
Bonne journée Denis
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Oui mais ni moi ni certaines personnes qui m’entourent ne souhaiteraient en être délivré de cet éventuel poids…
Bonne journée,
D.
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Et je te comprends, c’est ce qui fait que le monde environnant peut être parfois gris, ou plus coloré, que des larmes roulent, que des cris de joie montent dans les airs.
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