Nous contera-t-il ses mémoires
Des apaisements de ses journées ?
Quand le silence enfin se fait.
Nous dira-t’il ses soirs d’adieux,
Ses soirs de liesse,
Ses soirs d’agonie, ses soirs tragiques ?
Dit-il tout l’effort que les fatigues si vite oublient ?
Ses points de suspension sont-ils pertinents ?
Pour le soleil qui ailleurs déjà s’étire ?
En juin, il implore la nuit car son amour vacille,
En décembre, il se parera d’espoir
De cette aube à renaître…