En ces soirs orangés
Sous les ombrages,
Souvent tu reviens
Me hanter
comme le ferait une fée
teintée d’un doux reproche.
Presque un lustre en arrière
Mon coeur battait de te revoir
Ta longue silhouette
Ton profil divin,
‘Toi’ ta voix me le murmure encore.
Tu avais suivi la vie
Portée par le temps qui court.
Ce soir, une jeune fille
Que tu m’envoies me dit :
‘Salam! »