Qu’elle soit haute pour la multitude
À perdre pied, porté par la houle
Le sel sur leurs lèvres,
qu’ils nagent heureux
Sur l’océan de leur parole
Nous n’avons toi et moi
Jamais parlé autant,
Que tu ne le fais avec un étranger
Tu le fais exprès,
Et tu es libre
Notre dialogue est plein de pièges
Et leurs mâchoires
Nous enserrent.
Pour moi la mer est loin,
je marche dans les dunes
une sirène ironique
se rit de ma soif
et me vante les plaisirs solitaires.
Le sable m’ensevelira,
j’irai seul quand l’heure sonnera.
On ne dit pas de mots d’amour à la mort.
Magnifique poème.
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Merci beaucoup… Un peu sombre peut-être… Bonne journée Gabrielle.
Le lun. 26 août 2019 à 15:25, Part of the fool a écrit :
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