Il t’appartient de te mettre au travail
Ou de persister dans ton rêve
nonchalant qui ne sait pas dire non
Et ne finit jamais la fête…
Il t’appartient de la savoir libre
Comme toi,
la jolie femme,
Libre comme l’air !
Alors le vent sera sensuel
Car sans détour, tu pourras
Lui souffler ton désir,
Qu’elle recevra
comme un compliment.
Ta honte est le bruit de tes chaînes,
Encore pesantes…
Pourtant,
La Liberté nous appartient
Et il appartient à l’amour
De concevoir la liberté de l’Autre.