Tu prêches la solitude
D’un revers de main,
La mienne t’est ouverte,
Pour le frôlement,
l’effleurement,
La caresse, l’envol.
Elle ne prend que ce qu’on lui tend.
Ma main est une aile,
Ma main est un oiseau.
Tu prêches la solitude
D’un revers de main,
La mienne t’est ouverte,
Pour le frôlement,
l’effleurement,
La caresse, l’envol.
Elle ne prend que ce qu’on lui tend.
Ma main est une aile,
Ma main est un oiseau.