Je perds mon temps,
Sciemment, je brise
Son sablier d’or
Pariant pour la soif
Aux dépens du désert
Qu’ il pourrait en châtiment,
Jusqu’à « plus soif »…
Étendre à ma vue.
Car c’est elle que de mes voeux
J’appelle
Et ses mirages d’oasis
Et leurs ombrages profonds
Dévoilant d’indicibles délices.