On ne serait sûrs de rien,
Quand les déserts imitent les mers
Et que le sable coule entre les doigts
Que le bois des forêts brûle,
Coulent encore des cendres
entre les doigts.
On ne serait sûrs de rien,
Souhaitant le rester
Puisque que rien n’est scellé.
On ne serait sûrs de rien,
Sauf de la soif et du désir,
L’eau et le sang,
Notre nature.