Chevauchant mers, sables et marées
Faisant fi de l’écume où des peintres t’on dessinée échevelée,
Tu me reviens de l’autre côté de la terre où je vivais parmi les hommes
et leurs principes jaloux que j’avais fait miens pour survivre
et ne plus me poser de questions et m’adonner à la boisson…
Ne t’attendant plus mais entendant ton galop serein,
Je me retourne et
Maintenant que tu es là,
Désirant de moi tant d’amour, à mes bras attelée,
C’est la révolution de ta course
Qui me coupe le souffle
Et fait battre mon coeur.